Verres verts
Verres verts
D’avant l’hiver,
Le pervers,
Qui nous mène au vestiaire
Passer un pull-over.
Un vrai calvaire
Coincé par les revers
Et le col de travers.
Un effluve de vétiver,
Parfum d’hier,
Met le cœur à l’envers.
Que demain, je l’espère
Dans nos rires de vair,
Cet amour primevère
Toujours persévère !
Sans faire le trouvère
Accepte ces petits vers
Avant que poussière
Nous retournions à l’univers.